Le chant du merle de Frédéric Pelle arrive en salles !

Le nouveau long métrage de Frédéric Pelle, promotion 1989, sera en salle ce mercredi 16 mars. "Le chant du merle" a besoin de votre soutien pour rester en salle le plus longtemps possible !!!

Avec « Le chant du merle » Frédéric Pelle, qui a suivi la formation Assistant réalisateur au CLCF en 1989, signe là son deuxième long métrage.

La sortie nationale est le 16 mars. Il sera visible dans plusieurs salles françaises : 

  • Paris (75) : Saint-André des Arts
  • Lille (59) : Le Métropole
  • Brest (29) : Les Studios
  • Le Havre (76) : Sirius
  • Brive la Gaillarde (19) : Cinémas Rex
  • Tulle (19) : VEO Palace
  • Argentat-sur-Dordogne (19) : Le Turenne
  • Biarritz (64) : Le Royal
  • Tonneins (47) : Rex
  • Grenoble (38) : Le Club
  • Clermont (63) : Les Ambiances
  • Chambéry (73) : Le Forum
  • Aubenas (07) : Le Navire
  • Romans (26) : Ciné Lumière
  • St Martin en Haut (39) : Cinéma Paradiso
  • Sillingy (74) : Cinébus
  • Uzès (30) : Le Capitole

Il est important de soutenir les films dès leur sortie en salle pour qu'ils puissent rester plus longtemps à l'affiche... alors, l'équipe du film compte sur vous ! 

Le réalisateur, Frédéric Pelle, a répondu à quelques questions :

Le chant du merle

Comment est né ce projet ?

L’idée vient d’Orlanda Laforet, ma compagne et de l’Hôtel de la Tour à Aubazine, ce petit village de Corrèze où nous avons tourné. J’avais découvert cet endroit pour y avoir tourné "La carte aux Trésors" en 2000… Et nous avons pris l’habitude d’y revenir régulièrement, Orlanda et moi, ce qui nous a permis de nouer des liens d’amitié avec les gens de l’hôtel. Il y avait là une serveuse qu’on avait l’habitude de voir, et qui a, un jour, disparu. Nous avons demandé ce qui s’était passé et on nous a raconté qu’elle s’était entichée d’un type un peu louche, qui n’était pas du coin et qui lui avait tourné la tête… Elle a dû quitter l’hôtel. C’était une fille extrêmement discrète, touchante, et on a trouvé ça à la fois plutôt banal mais presque vertigineux de son point de vue… Cette histoire l’avait complètement dépassée et sa vie s’en est trouvée chamboulée. Ma compagne s’est dit que c’était un point de départ intéressant. 

Comment s'est passé le tournage ?

Formidablement. Une équipe réduite (10 personnes) mais très soudée, un mini budget, un tournage léger (on a tourné avec une caméra canon C300 et une petite camionnette en guise de camion électrique/machinerie)  et express (23 jours), une participation active de quasiment tous les habitants du village (certains comme acteurs, d'autres comme figurants, sans compter tous ceux qui nous ont filé un coup de main), de très bons comédiens (Adélaïde Leroux, Nicolas Abraham, Myriam Boyer, Patrick d'Assumçao). 

Une expérience très enrichissante aussi bien sur le plan humain que cinématographique.